Extraits de presse et d’avis de lecteurs

Roger Bichelberger privilégie la profondeur de la réflexion pour traiter de l’énigme du mal, de l’amour rédempteur… Une thématique que n’auraient reniée ni Bernanos, ni Mauriac dont les ombres tutélaires reposent sur ce beau texte.

Cécilia Dutter (Service Littéraire, Paris)

 

Il y a du Bernanos dans ce roman qui met face à face deux êtres traversés d’élans de lumière. Avec une finesse qui n’élude rien, l’auteur explore cette rencontre «incertaine et douloureuse» sur la crête qui sépare l’abîme de l’absolu.

            Geneviève de Simone Cornet (Echo magazine, Suisse)

 

Un roman sobre et fort, qui ne s’oublie pas facilement, tant le destin de l’héroïne est bouleversant.

            Marcel Cordier (L’Ami Hebdo, Strasbourg)

             

Avec infiniment de respect et de délicatesse, Roger Bichelberger raconte ici les tourments d’un prêtre confronté à un drame spirituel qui n’est pas sans rappeler ceux décrits par Bernanos.

            Claire Lesegretain (La Croix, Paris)

 

Sur un thème d’une infinie délicatesse, Bérénice est un roman grave, intense et pudique.

            Michel Genson (Le Républicain lorrain, Metz)

 

C’est un de ces livres rares qu’on aimerait avoir écrit.

Jacques Hennequin, universitaire

Une quête … où la beauté, l’art, servent de mode de communication.

            Elise Fischer (Au fil des pages – RCF national)

 

Bérénice est une œuvre de très grande qualité, difficile, violente, déchirante, mais qu’on ne peut abandonner.

Jacques Dusquesne (écrivain)

Bravo pour cette belle Bérénice. Un beau livre émouvant.

         Pierre Rosenberg,

président-directeur honoraire du musée du Louvre, de l’Académie française

 

Roger Bichelberger regarde la réalité en face, mais pour y tracer un chemin de lumière… Une lecture à recommander de toute urgence, pour retrouver un peu d’espérance.

Gérard Banholzer (L’Ami Hebdo, éd. Alsace)

 

Bérénice (l’héroïne) est une petite merveille insupportable d’intelligence, de provocation, de maturité. Elle est la vie, tout simplement… Ce livre est porté par la quête brûlante de la joie, celle ‘qui entraîne plus haut que le bonheur’.

            Yves Viollier (La Vie)

 

Roger Bichelberger signe un roman bien mené, qui s’interroge sur le sens de la religion et de l’engagement.

Nicolas Guégan (Le Nouvel Observateur)

 

Encore une fois, Roger Bichelberger nous livre une œuvre forte, grave, criante de pureté et de vérité qui nous amène, au-delà de la beauté de son écriture, des émotions qui naissent à la lecture, à  nous relire, à interroger notre humanité.                                                                                           Jean-Marc Louis (La Semaine)

 

Bérénice est un roman de grande qualité… Un drame prenant. La confrontation entre deux âmes solaires (et solitaires) lui donne toute son âpre beauté. 

Un roman juste, sur un sujet périlleux.

Diane Gautret (Famille chrétienne)

 

Roger Bichelberger signe un roman entre récit contemporain et tragédie… Un drame qui tient de Racine et de Bernanos.

« On n’oublie pas une fille pareille ». Les lecteurs le constateront comme l’auteur.

Valérie Susset (Est-Républicain, Vosges-Matin)

 

Il y a du Mauriac et du Bernanos dans le dernier roman de Roger Bichelberger… Une réflexion que n’auraient reniée aucun de ces deux illustres écrivains.

Pascal André (Dimanche Express, Belgique)

 

            Ai-je dévoré ce récit ou est-ce lui qui m’a dévoré ? … Ce qui m’a tellement touché dans ce texte ? Sa densité mystique. Au-delà des questions fondamentales posées – de toujours et si actuelles – quels beaux portraits, si justes, si complexes. La figure du père Clet est exceptionnelle de vérité et d’affection sobre.

            Gabriel Ringlet (de l’Académie royale de Belgique)

 

            Bérénice, un récit à fond chrétien partageant l’actualité la plus rigoureuse… Bichelberger traduit toujours le mystère de la rencontre, le dialogue des âmes, la proximité de la joie, la douleur qui dure… Il fait partie des auteurs qui ont tissé une théologie littéraire qui croise l’humain et le divin en l’homme.

Joseph Thomas (Golias)

 

            Le roman est envoûtant. On reconnaît ici le style Bichelberger : une grande pureté littéraire comme il en existe rarement.

            Jean-Marie Says (My Boox)