Quel magnifique livre que cette Fille à l’étoile d’or !  J’ai dévoré ces pages superbes en me disant que jamais un tel regard n’avait été porté (ni sur les Allemands qui se sont dressés contre Hitler, ni) sur le peuple juif ».

Christian Signol

 

Cette Fille à l’étoile d’or, une histoire forte et belle !

Gérard de Cortanze

+ coup de fil enthousiaste de Pierre Moustiers.

 

Pour son lecteur peu informé, RB remet bien des pendules à l’heure. Comme son héros, il rêve d’une Europe « nouvelle, démocratique et juste ».

Nous, nous rêvons d’un grand succès pour ce petit récit capital. 

            Marcel Cordier – L’Ami Hebdo, 7 février  et 19 mars 2010

 

 

Voici un livre inspiré. Un ouvrage poignant, présenté sous la forme d’un journal, dans une langue sobre et poétique… L’amour naissant entre le résistant membre du groupe clandestin des Jeunesses chrétiennes et Elsa Godschalk, « la fille à l’étoile d’or », est évoqué avec une finesse infinie. 

Blaise de Chabalier

Le Figaro littéraire, 11 février 2010

 

Des termes sobres, simples comme dans un rapport, presque froids – ce qui accentue encore plus l’horreur des exactions perpétrées. A lire.

Dédale

repris dans une « Brève culturelle » du CRIF

(Centre Représentatif des Institutions Juives se France), 11 février 2010

 

Au-delà d’un contexte historique parfaitement maîtrisé, RB écrit avec une finesse indescriptible. Un livre poignant.

EcolesJuives ;fr

 

Ce roman magnifique se hausse au niveau du rêve.

Joël Schmidt 

Réforme 4 février 2010

 

Elsa est la véritable reine de cette histoire poignante, une Esther éternelle et sublime, à l’instar de l’Esther du Livre qui avait su trouver les mots pour sauver son peuple.

Geneviève Senger

Les Affiches-Moniteur (Strasbourg) 4 février 2010

 

 

Un livre aussi émouvant qu’inattendu.

Pascal André

France Dimanche (Belgique)

 

 

Un texte à la fois sobre et attachant.

Odette Lang

Information juive février 2010

 

Un récit poignant qui nous interroge.

            Métro (Belgique)

 

Pour son roman, Roger Bichelberger s’est inspiré d’une histoire vraie peu habituelle.

Témoignage chrétien 18 02 10

 

Un roman court, remarquablement bien écrit,  d’un style limpide, et qui se dévore en quelques heures. .. Un merveilleux roman, à la fois tragique et lumineux, éclairé par l’amour et par la lumière de l’étoile qui indiqua jadis leur route aux mages et les guida vers un enfant juif. Une étoile d’or.

Michelle Héraud

Vie et fraternité Marianistes (VFM) – mars 2010

 

 

Récit intimiste, La Fille à l’étoile d’or se lit comme une confidence, comme la confession d’un enfant pris dans la tourmente au moment de devenir adulte.

Benoît Gousseau

Politique Magazine  mars 2010

 

Peu d’ouvrages ont été consacrés aux catholiques allemands qui se sont opposés au nazisme…

Brigitte Clavel

France catholique – 26 février 2010

 

Un bouleversant témoignage… Un roman bref, pudique, émouvant.

Christophe Henning

Panorama, mars 2010

 

J’ai beaucoup aimé…  cet éloge de la résistance, intérieure et à l’intérieur.  Le particulier rejoint l’universel. Et l’actualité ! …Une sobre et belle écriture, si heureusement en connivence avec le rythme du dialogue.

Gabriel Ringlet

de l’Académie Royale de Belgique

 

Un très beau roman sur « l’Autre Allemagne », … la vraie.

Francine de Martinoir

La Croix – 4 mars 2010

 

La Fille à l’étoile d’or est salué par la critique. (Le roman) retrace le destin d’un résistant allemand durant la Seconde Guerre mondiale. Un parcours de la jeunesse à la rébellion. Une Résistance intérieure. Un livre au croisement des religions.

Matthieu Villeroy de Galhau

La Semaine, 4 mars 2010

 

La fille au grands yeux bleus, sa « reine juive », a disparu… Un livre nostalgique et sensible, à l’image de son héros.

Cécile Maître

Famille chrétienne, mars 2010

 

Un livre de droiture, de justice et de vérité. (Un) beau livre.

Marie-Thérèse Humbert

Ecrivain

Plein d’humanisme et de sobriété, ce texte est inspiré par le cahier envoyé par un lecteur octogénaire, retraçant son parcours d’ancien résistant au nazisme.

Camille Tenneson

Le Nouvel Observateur – 11-17 mars 2010

 

J’ai dévoré « la fille à l’étoile d’or ».

Quel beau témoignage…, avec tout ce que cela implique d’amour, de solidarité et de résistance aux forces du mal. Quelle histoire bouleversante aussi autour de la disparition tragique de cette famille juive et de la petite reine Elsa. J’en ai eu des frissons. Et puis cette évocation de Charlemagne, qui aurait presque pu figurer comme précurseur d’une Europe intelligente, tolérante, prospère et …spirituelle.

Une lectrice

 

Roger Bichelberger explore avec brio un pan de l’Histoire assez méconnu…

Gaston-Paul Effa

Le Républicain Lorrain – 14 mars 2010

 

« La Fille à l’étoile d’or », un joyau, magnifique. Témoignage multiple, qui résume tant d’aspects de cette période atroce pour tous et pour l’Humanité …Extrême clarté, concision, profondeur,  pudeur, sensibilité conjuguée de sobriété, de retenue et de discrétion.  Des chapitres courts, évocateurs, poignants, si authentiques et si incisifs pourtant… Ce petit livre s’apparente pour moi à un chef d’œuvre de la littérature. La véritable, celle qui vous saisit, vous emporte, vous entraîne…

Hélène Sielka (¨Paris)

 

Roger Bichelberger est un de ces rares romanciers qui construisent pas à pas une œuvre tout entière tournée vers le témoignage et la répulsion des guerres… Un intensité qui vous saisit parfois à la gorge. Des mots simples, bouleversants et remplis de spiritualité.

Bertrand Galimard-Flavigny

Petites affiches

 

Ce texte grave, plein d’humanisme, inspiré par le récit d’un ancien résistant au nazisme, est remarquable de finesse et de sobriété.

Monique Balmer

Le Matin (Suisse) + Worldnews, Femina, Newspeg…

 

Passionnant… Roger Bichelberger s’est inspiré d’un témoignage vrai. En se glissant dans la peau d’Ansgar, le romancier trouve le ton juste.

Michel Vagner

Est-Républicain, 04 04 2010

 

Plein d’humanisme et de sobriété, ce texte nous éclaire sur le destin souvent tragique de ceux qui se sont élevés contre le nazisme. Un texte pourtant plein d’espoir, une véritable ode à la liberté.

Radio Coteaux

 

Tout est suggéré avec finesse, jusqu’aux responsabilités du peuple allemand.

Le roman vibre d’une poésie poignante, à la hauteur de ce très pur amour pour une étoile prématurément éteinte.

Yves Viollier

La Vie, 08 04 2010

 

Un récit exemplaire.

Jean-Claude Lamy

Le Midi libre (avril 10)

 

Une écriture sobre et belle, alliée à une grande rigueur historique. (analyse sur 2 pages de la revue)

Geneviève de Simone-Cornet

Echos Magazine (Suisse) 29 avril 10

 

J’ai trouvé ce livre d’une écriture très sobre. Et merveilleux, car il a le mérite de rappeler que tous les Allemands ne furent pas des nazis, et que ces dits Allemands étaient en danger dans leur propre pays…

Je le conseille donc largement pour cet angle de vue éclairant.

Anne Roscoff

amazon.fr

 

Il s’agit, pour l’auteur, de montrer que la résistance n’était pas que l’apanage des Alliés. Un très beau livre, tout en nuances.

Livres-Parcours, avril 2010

 

C’était une fille aux grands yeux bleus, au port royal, à la senteur de myrte… Mémoire vive de la réalité juive : elle s’appelait Elsa. Lui, le garçon du Cantique des cantiques, c’est Ansgar d’Oche… Dans des livres comme le Cantique ou Esther, le nom de Yahvé n’est jamais prononcé. A croire qu’il faut chercher, derrière l’innommé qui se cache sous la beauté (Elsa) ou l’Amour passion (Cantique), le souffle divin qui rappelle à tous qu’ils sont fragiles mais qu’ils ont, par lui, la grâce de dire oui à la vie et à la fascination d’un amour impossible.

Tel est le roman de Roger Bichelberger dont on connaît par ailleurs les qualités littéraires et la fine observation de la condition humaine.

Camille-Päul Cartucci

Eglise de Metz – avril 2010

 

Un très beau roman.

Guy Perraudeau

Courrier français Gironde

 

La Fille à l’étoile d’or jette un pont entre la France et l’Allemagne…

Laetitia Collin

La Voix (Luxembourg)

 

Un roman érudit qui parle – c’est rare – de ces Allemands forcés à la guerre et qui en furent les premières victimes.

Evelyne Letribot

Ouest France, 2 05 10

 

Ce roman de Roger Bichelberger touche par son écriture sensible et sa grande rigueur intellectuelle : c’est un très beau livre !

Michel Sender – La Messagerie littéraire 12 05 10.

 

Après avoir lu ce livre, on se sent meilleur.

Des moines de l’abbaye de Timadeuc (Morbihan)

 

La conscience de ce jeune garçon face à une barbarie qui n’a été que la négation de toutes ses valeurs donne à ce roman toute son émouvante intensité.

La Manche libre, 21 mai 2010

Un très beau roman que nous donne à lire Roger Bichelberger.

Anne Jaffré (Horizons – sept 2010)

 

Figure dans la sélection du Prix Cazes (15 nov 2010)

 

 

 

Plus d’une douzaine d’émissions radio (Normandie, Creuse, Paris national (RCF)  Strasbourg, Metz (France bleu, Jerico), Nice, Brive, Toulouse, Fréquence protestante, Radio Judaïca Nice, Lyon, Bruxelles…) ont  été  enregistrées à ce jour.