Un livre de Bichelberger, c’est toujours un mystère de vie, de la vie, avec ses tristesses et son espérance cachée. C’est-à-dire de Noël. Et voici le dernier qui vient nous en dire le secret. Un petit garçon, adopté, a disparu. Et, lorsqu’il revient, toute la communauté du village a retrouvé son église abandonnée et s’est retrouvée dans la solidarité et la beauté. Le vrai livre pour Noël de cette année.
P. Lin, Renaissance de Fleury (St Benoît sur Loire) (déc 06)
Un roman pour ne pas désespérer… Un roman à la Pagnol, sur l’espérance.
Gérard Banholzer,L’Ami-Hebdo
Un conte fait de neige, de ferveur, de foi. Roger Bichelberger se situe du côté de Ramuz. C’est une joie de le lire.
Henry Bonnier, Politique Magazine
Ces chaleureux Noëls pour un enfant perdu renouent de belle façon avec l’art du conte en même temps qu’avec la profondeur du mystère.
Michel Genson, Le Républicain Lorrain
Ce roman-conte de Roger Bichelberger est un enchantement dont la lecture donne à penser et éveille le cœur à l’accueil du mystère.
Adalbert Muller, Nouvelles
Un joli conte de Noël.
Famille Chrétienne
Porté par une belle langue, un conte de Noël dans un monde déchristianisé et qui redécouvre la foi et des rites.
La Procure – Paris
Je préfère 230 pages lumineuses et qui me font respirer à 900 pages (même très bien écrites) de turpitudes…
Marie de Beukelaer (Portail catho.be)
J’ai lu votre conte de Noël et j’y ai pris un réel plaisir, un vrai bonheur. Une très jolie histoire, pleine d’amour et d’humour. Merci.
Jacques Duquesne
Une belle et surprenante chose ! Que de grâce, que de symboles … J’ai accompagné Siffre, 7-en-l’air, le Vinot Bède et les autres avec émerveillement.
Merveilleux RB, qui avez gardé votre âme d’enfant. Je suis dans l’admiration de ce que vous publiez. Vos derniers récits, tous admirables !
Charles Le Quintrec
Outre le ‘conte de Noël’ et le roman de l’enfant perdu et retrouvé (roman aussi de sagesse populaire, de politique villageoise et d’anticipation), je découvre dans ce texte un sujet jamais traité, à ma connaissance : dans un avenir pas si lointain (fin du 21ème siècle) et dans un monde où l’absence apparente d’un Dieu qui brûle créera un vide vertigineux, des hommes réinventeront la ‘religion’ en passant par la beauté (cf Dostoievski : La beauté sauvera le monde) – ici, par celle du chant grégorien (qui est aussi prière) -, pour ré-enchanter la vie et retrouver un supplément d’âme.
Si une certaine forme de ‘religion’ et appelée à disparaître, une autre prendra le relais, qui reviendra à l’essentiel, c’est-à-dire à l’Amour.
Un lecteur (en recherche) – agrégé de l’Université
« Un beau roman, qui marie avec audace la poésie et le réalisme. C’est une conception de la religion que je crois partager avec vous.»
Michel Tournier (lettre à l’auteur)
Le conte est superbe, réjouissant d’espérance. La beauté, la générosité, l’intelligence du cœur y renouvellent la face de la terre.
Yves Viollier – La Vie
Un auteur rare.
Patrick Poivre d’Arvor – Nice-Matin
Un charmant conte de Noël, léger et ludique…, rempli d’optimisme et de tendresse. La fraternité et l’espérance en sont les héros.
Notes Bibliographiques
Un très beau roman… qui, comme l’Enfant de la Crèche, vient éclairer le monde tant aimé de Dieu dont le prince est un enfant de Paix.
Camille-Paul Cartucci – Eglise de Metz
Je puis vous dire, sans forcer la note, que Noëls pour un enfant perdu est une de mes meilleures lectures de l’année. Votre conte est merveilleux : il laisse dans l’esprit, le cœur et l’âme du lecteur, un sillon de lumière, un sillon scintillant de pureté. Et puis, il y a quelque chose de souverain à situer l’action dans le futur en ancrant personnages et paysage dans un mémorial qu’on croirait issu du Moyen Âge. Ce jeu entre les temps abolit le temps et resitue l’histoire de l’humanité dans sa trajectoire
Georges-Paul Cuny (auteur Gallimard)
C’est un magnifique conte de Noël. Il nous surprend tout de suite, puis nous désarme, enfin et surtout nous enchante. Il m’est arrivé de rire comme un enfant… J’aime la musique de ce conte, car c’est une musique dans laquelle le rythme fait amitié avec la mélodie. Et puis les noms propres sont dotés d’une poésie qui décoiffe. C’est à la fois sérieux comme Ravel et léger, capricant comme Erik Satie. Vous avez raison et cette raison qui n’a rien de raisonnable donne au lecteur de bonnes couleurs. Oui, la beauté sauvera le monde.
Pierre Moustiers, écrivain, Grand Prix du Roman de l’Académie française
Ce récit se savoure d’abord par la langue qu’utilise l’auteur… Le gosse à la voix d’or chante dans l’église longtemps désaffectée de Loup-la-Côte… L’enfant du mystère devient symbole de la Nativité.
Jean-Claude Lamy – Le Figaro
Œuvre empreinte de mysticisme et d’humour, exaltante et tonique. Un grand roman où l’on retrouve le souffle des bâtisseurs de cathédrales : l’esprit y vibre à chaque page.
L’Ecrivain (Strasbourg)
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